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Nous essaierons dans cette page de décrire dans les grandes lignes l'histoire d'Orival.

Formation du massif (plus de détails sur la page géomorphologie)

Au crétacé, il y a environ 100 millions d'années la craie se formait.

La Normandie, recouverte par la mer à vu son sous-sol se former à cette époque, par les dépôts successifs d'organismes vivants.

On ne sait pas si le sol est monté ou si la mer est descendue, mais une fois ces massifs, totalement ou partiellement à nu, le climat connut des évènements très violents qui au fil du temps, entraînèrent l'érosion des massifs et le creusement des vallées que nous connaissons en Normandie.

Apparition de la végétation (voir aussi la page Faune et Flore)
On peut supposer que c'est à l'apaisement du climat que la végétation est apparue, on ne connaît pas l'époque précise.
A partir de là et suivant les moments (glaciations plus ou moins importantes), et les lieux (exposition au nord ou au sud), différentes végétations se sont développées sur le massif.
Massif forestier aujourd'hui, on peut supposer que le massif Orivalais fut autrefois recouvert par une flore riche aujourd'hui inconnue sous nos latitudes.
De cette végétation plutôt rase, il reste aujourd'hui quelques vestiges, telles les fameuses orchidées.

Les plus anciennes traces humaines (plus de détails sur la page Paléontologie)
C'est à Orival (Grotte du Renard) et à Gouy (grotte du cheval) que l'on trouve les plus septentrionales traces de l'homme magdalénien (jusque 9000 ans avant J.C.). On suppose qu'à cette époque l'homme chassait en vallée de Seine qui gelait de nombreux mois dans l'année (fin de la période glacière) et se réfugiait dans les cavités que lui offrait la nature.

L'époque Gallo-romaine (voir aussi histoire/Les voies romaines, ou, histoire/L'oppidum et la mare aux Anglais)
Comme dans le reste de la région, Orival n'échappe pas à la règle de la forêt de la Londe-Rouvray consistant à avoir des vestiges gallo romains. En effet, Orival était traversée par les voies romaines allant de Rouen à la Londe, et de Rouen à Caudebec-les-Elbeuf, ces voies se dissociant au hameau de la bergerie à la Londe.
 

Histoire à suivre...